vendredi 24 février 2017

L'invité du dimanche : Paul Meurisse, dimanche 03/10/1971




Paul Meurisse évoque Edith Piaf qui avait 24 ans lorsqu'ils se sont connus et lui 26. Il chantait dans les cabarets parisiens, comme elle. Il est allé la voir chanter et l'a invitée. Il a joué "Le bel indifférent" avec elle, quelques jours avant d'être mobilisé. Elle n'était pas une bonne comédienne, mais un génie de la chanson.
Elle a toutefois très bien joué "Le bel indifférent". Il donne son opinion sur le livre de Simone Bertaud dont il pense qu'elle jalousait Piaf. Il parle ensuite de son âge. Il rappelle qu'il a été clerc de notaire à Aix-en-Provence, métier pour lequel il n'était pas fait. Il en est parti car il trouvait la bourgeoisie grotesque. Il a toujours écarté l'hypothèse de l'insuccès. Ses traits de caractère, son humour.
Ses rôles : évêque dans "Doucement les basses", avec Delon. Extrait.
Son rôle dans "Les Diaboliques" de Clouzot.
Extrait. "L'oeil du monocle".
Extrait. Sa rencontre de Jacques Feyder dans "Macadam" a marqué ses vrais débuts au cinéma. La noblesse qui émanait de lui. Jacques Feyder l'a beaucoup marqué. C'était un maître. Extrait de "Macadam".
Françoise Rosay évoque un souvenir de tournage de "Macadam" : l'électricien croyait qu'ils buvaient du whisky et c'était du thé. Ce qu'elle pense de la "Kermesse héroïque" de Feyder. Ils évoquent Feyder.
Paul Meurisse a fait venir Françoise Christophe et Martine Sarcey qui ont été ses partenaires pour leur demander de dire énormément de bien de lui.
Extrait de "Un sale égoïste".
Françoise Dorin, auteur de la pièce, parle de l'interprétation de Paul Meurisse et du thème de la pièce. Elle explique pourquoi elle a choisit de peindre un homme. Paul Meurisse a demandé à Sylvie Vartan de venir parce qu'elle voulait devenir comédienne et parce qu'elle est la chanteuse qui représente la jeunesse actuelle.
Dans "L'escalier" de Charles Dyer, Paul Meurisse interprète un homosexuel avec Daniel Ivernel. Extrait de la pièce. Paul Meurisse parle de ce rôle. Ce que représente pour lui Jean Anouilh, "quelque chose de très prodigieux". "L'hurluberlu" et "La foire d'empoigne" qu'il a jouées pendant cinq ans de sa vie. Il joue deux rôles (Napoléon et Louis XVIII) dans la pièce.
Extrait de "La foire d'empoigne". Les rôles qu'il aime. Les applaudissements du public sont une récompense. Paul Meurisse parle d'Eric von Stroheim. Il raconte une anecdote à son sujet.
Dans la maison ou vécut Eric von Stroheim, Denise Vernac, avec son jeune fils, accueille Paul Meurisse. Ils parlent d'Eric von Stroheim, de l'amitié qui les liait.
Extrait de "La grande illusion" avec Eric von Stroheim.
Arrivée de Jean Pierre Melville. Ils parlent de "La grande illusion". Le rôle de Paul Meurisse dans "L'armée des ombres".
Extrait du film.

 
Oeuvres : - Sylvie VARTAN chante "Parle moi de ta vie" et "Annabelle".

lundi 6 février 2017

Au risque de vous plaire : émission du 28 novembre 1971

Réalisateur : Jean Christophe Averty

- Carlos chante "Malabar et Roudoudou".
- Sylvie Vartan chante "Loup".
- Grosso et Modo dans "Tout ça c'est fini", "La fin d'un règne", "Ita missa est", "La fine fleur".
- Philippe Clay chante "Morose".

- Irène Cullen chante "Could be me".


- Muller et Ferrière dans "La fin d'un sacré monstre", "Jeux sans fin", "La fin des haricots".
- Tony Sarty chante "Eldorado".
- Line et Willy chantent "Amour et parapluie".
- Dick Rivers chante "Bye bye Lily".
- Sylvie Vartan chante "Je t'appelle".
- Guy Marchand chante "L'Amerloque".
- Jacqueline Dulac chante "C'est toute mon enfance".
- Gilbert Bécaud dans "A remettre à mon fils quand il aura 16 ans".
- Sylvie Vartan chante "Annabel".
- Herve Watine chante "Du bonheur".
- Beryl Bryden chante "Basin street blues".
- Gilbert Bécaud chante "Je t'aimerai".
- Sylvie Vartan chante "Parle moi de ta vie".
- Danyel Gérard chante "Même un clown".
- Sylvie Vartan chante "Dilindam".
- Philippe Clay chante "La quarantaine".