Les rendez-vous du dimanche : Spécial Louis de Funès
L'invité principal de l'émission est L. DE FUNES
qui vient présenter "le gendarme et les extra-terrestres" dont nous
voyons des extraits, ainsi que du "gendarme de St Tropez" dans lequel
jouait le père de M. SARDOU.
L'équipe des Branquignols, à laquelle de FUNES a appartenu, est également sur le plateau.
Robert Dhéry (Guy Beart) et Colette Brosset :
Extrait de leur dernier spectacle (DOC. A2 ). Au cours de l'émission de FUNES
parle également de Laurel et HARDY (extrait d'un de leurs films), de
FERNANDEL, de COLUCHE (extrait de "l'aile et la cuisse ").
Le réalisateur Jean Girault :
B. HINAULT
présente son livre : "moi HINAULT".
Michel SARDOU chante "Aujourd'hui peut-être" en public, accompagné au piano. Il chante assis sur une chaise longue et menotté par Louis de FUNES, déguisé en gendarme.
Michel Drucker est également déguisé en gendarme
Sylvie VARTAN chante "Fantaisie"
Guy BEART chante "La danse du temps"
Lola BOBESCO, au violon, accompagnée au piano par le professeur de
médecine Claude Eric Landru, interprète "Presto dans le style ancien" de
César ESTEVOT
Jean-Jacques DEBOUT chante "Les rues de Paris"
Danielle LICARI chante "Rapsodie pour 2 voix"
Michel SARDOU chante "La tête assez dure"
Merci pour ce passionnant retour sur les passages télévisés de Louis de Funès, qui illustre si bien son génie comique et son attachement à des personnages cultes comme le gendarme dans Les gendarme de Saint-Tropez . Votre analyse souligne à juste titre comment il maîtrisait l’art de transformer des dialogues simples en moments drolatiques, comme dans ses mimiques exagérées lors des scènes étroites où son physique devenait un gag à lui seul . Il est fascinant de voir comment ses prestations, souvent marquées par une énergie débordante, contrastaient avec les passages plus subtils où il jouait sur l’expressivité de son regard ou ses intonations vocales, rappelant les extraits soigneusement sélectionnés dans Anthologie 1949-1962 . Votre article évoque aussi à merveille la manière dont il évitait les longs silences filmés en extérieur, préférant un rythme effréné qui réduisait les interludes musicaux au profit du dialogue, une signature de sa période 1966-1973 . Ce mélange de burlesque et de finesse psychologique explique pourquoi ses rôles, de l’Avare à ses doubles emplois déguisés, continuent de faire référence dans l’histoire du cinéma français . Enfin, l’idée de cocher les passages marquants, comme le raconte sa biographie, montre à quel point il était exigeant avec lui-même pour atteindre la perfection comique . Un hommage vibrant à un artiste dont l’héritage reste incontournable !
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