GRAND AMPHI : dimanche 10/10/1971

Présentation de Jacques CHANCEL, qui après avoir créé "Grand Amphi" de 1971 à 1972, enchaîna avec son émission la plus célèbre "Le Grand Echiquier" de 1972 à 1989.


Séquences :

Pierre RABBATH et son orchestre jouent du jazz.

Claudine COSTER parle du Palace Theatre.

Jean SAS interviewe Yves BOISSET sur son film "Le Saut de l'ange".

Raphaèle BILLETDOUX a écrit "Jeune fille en silence". Béatrice PRIVAT écrit "Alpha du Centaure".

Maurice COUVE DE MURVILLE parle de la télévision.

Gaston DEFFERRE dit un poème d'Eluard.

Film sur Chaplin.

Louis PAUWELS parle de son dernier livre "Lettre ouverte". A gauche : René Fallet.

Interview de Georges Brassens .

Chansons :

- Georges BRASSENS chante "Les Copains d'abord"

- Sonia PETROVNA danse sur la musique de Bach "Le Concerto en sol bémol".

- Sylvie VARTAN chante "Parle-moi de ta vie".

Sylvie VARTAN et Georges BRASSENS chantent "Dans l'eau de la claire fontaine".

Les 2 derniers couplets ne sont pas interprétés :

«Elle me tendit ses bras, ses lèvres
Comme pour me remercier
Je les pris avec tant de fièvre
Qu'elle fut toute déshabillée
Le jeu dut plaire à l'ingénue
Car à la fontaine souvent
Elle s'alla baigner toute nue
En priant Dieu qu'il fît du vent
Qu'il fît du vent»  

- Lucienne BOYER chante "Parlez-moi d'amour".

- L'Ensemble de Musique de Chambre de Pierre MERLE PORTALES joue "L'Automne" de Vivaldi.

- Ann LONNBERG : "Good bye Alexander".

- Bernard HALLER : sketch du "Western".

- NICOLETTA chante "Mamy blue" (Une de mes chansons préférées, pas pour le refrain gospel, mais pour la superbe musique des couplets, et l'histoire racontée qui me touche).

- Yvan REBROFF chante "Love story".

- Georges BRASSENS chante "La non demande en mariage"

ce couplet n'est pas interprété :

« On leur ôte bien des attraits

En dévoilant trop les secrets

De Mélusine

L'encre des billets doux pâlit

Vite entre les feuillets des li-

Vres de cuisine » 

et "Oncle Archibald" (Cette dernière chanson est peu connue, pourtant elle est magnifique !).

ce couplet n'est pas interprété :

« Et mon oncle emboîta le pas
De la belle, qui ne semblait pas
Si féroce
Et les voilà, bras d’ssus, bras d’ssous,
Les voilà partis je n’ sais où
Fair’ leurs noces »